| vanille300 | | Administratrice |
|  Posté le 25-06-2007 à 18:00:43   
| Des douaniers saisissent plusieurs bizarreries
Une femme couverte de saucisses, un sac plein de crottes d'éléphants et un singe pelé : ce sont quelques-unes des choses étranges que des douaniers de l'Agence des services frontaliers du Canada ont saisi à l'aéroport international Pearson à Toronto durant des inspections de bagages de routine.
Ils sont entraînés pour saisir des armes dangereuses et des stupéfiants, mais les douaniers reconnaissent qu'il est toujours difficile de se préparer pour voir de la viande fraîchement abattue, certaines délicatesses culturelles et des aphrodisiaques exotiques, au milieu de linge et de souvenirs.
"Une fois, je faisais une inspection secondaire quand j'ai vu cette chose. J'ai tiré et cinq doigts sont sortis, puis un bras, et ensuite on voit l'os de la mâchoire et des dents, et le nez et les yeux, a raconté Ed Filman, qui travaille avec des chiens pour trouver de la nourriture, des plantes et des animaux exotiques à Pearson. C'était un singe pelé,  et d'après ce que j'ai compris, ils allaient le manger".
Il a indiqué que la plupart des passagers affirment importer ce genre de choses pour leur usage personnel, et que certains reconnaissaient transporter leur prochain souper dans leur bagage.
D'autres passagers transportent des parties d'animaux  comme des queues de chevreuil, des pénis de tigre et de bovins ou autres, plaidant que cela devait améliorer leurs performances sexuelles.
Une des difficultés qui en découlent est d'identifier les objets.
"Qui saurait de quoi à l'air un pénis de bovins ?", demande M. Filman, notant que cet "objet" mesurait un mètre de long et que la surface ressemblait à celle du bois.
C'est une des raisons pour lesquelles les chiens sont si utiles, mais parfois leur aide n'est pas nécessaire.
M. Filman a rapporté le cas d'un homme très bien habillé qui avait sur sa valise un sac d'épicerie remplie de crottes d'éléphants qu'il voulait utiliser comme encens.
La directrice des communications à l'Agence des services frontaliers, Patrizia Giolti, a noté que ce genre d'exemple illustrait le fait que souvent les gens qui rapportaient de telles choses ignorent qu'ils contreviennent à la loi.
Elle a indiqué que les gens ne devraient pas avoir peur de poser des questions et que ça pouvait quelquefois leur éviter des tracas.
Un autre douanier spécialisé dans les stupéfiants, Steven Cescon, a cité l'exemple d'une femme qui avait essayé de cacher des saucisses sous ses vêtements.
"Nous pensions que cette femme avait des stupéfiants sur elle", a-t-il indiqué.
"Elle croyait qu'elle ne pouvait pas importer de viande et a décidé de l'amener illégalement à la place."
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suis pliée 
je le sens d'ici son encens 
