| Dernières réponses | |  Ah ba alors là, les instits sont pas là pour éduquer les gamins mais faut pas pousser mamie dans les orties, là c'est un devoir 
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| | j ai deja vu ca en stage en creche un gamin qui mordais les autres , et la puericultrice lui disais rien grr
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| |  par un copain. Lui qui pleure pour un rien à la maison n'a pas pleuré et n'a rien dit. Je me suis chargé de le dire pour lui !
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| | coccinelle,ton fils ne se saurait il pas fait mordre par une jeune fille  
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| | Le pire, c'est que ça s'entend deplus en plus des choses comme ça !
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| |  de suite la violence ,faut pas s'etonner que les gamins fasse la même chose après  |
| | Je ne suis pas violente, mon fils peut rentrer de l'école avec des bobos, je n'irai pas trouver la maîtresse pour autant. Ce qui m'énerve moi, c'est ça :
Là, je suis allée la trouver parce que je ne trouve pas normal que mon gamin soit mordu et que la maîtresse ne se soit aperçu de rien. Les traces sont restées une semaine !
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| | | Oui ils viennent pour un pbm où le fiston a été blessé 3 fois et eux bing règle le pbm par la violence, bel ex, et leur môme, avec un tel ex, il commence bien dans la vie. |
| | | pfff qu'ils soient enervé ok mais de la à la frapper c'est grave quand même |
| | Une institutrice agressée par des parents à Quaregnon
Une institutrice maternelle de l'école communale de Quaregnon, située à la rue Jules Destrée, a été agressée, hier vers 08h30, par les parents de l'un de ses élèves. Les auteurs, nés en 1965, étaient venus demander des explications à l'enseignante concernant une blessure au nez de leur fils, âgé de cinq ans, tombé en jouant dans la cour de récréation.
La mère de l'enfant a d'abord insultée l'institutrice, reprochant à l'école le manque de surveillance. Son fils aurait été blessé trois fois en un mois. Le père a ensuite pris l'institutrice par le cou avant de la repousser violemment dans les ordinateurs.
La victime, Laurence Depestel, une Douroise née en 1965, a reçu la visite du service d'aide aux victimes de la police boraine. Elle est actuellement en congé maladie. Les élèves, qui ont assisté à la scène, sont sous le choc et ont été pris en charge par des psychologues. La direction a exigé le changement d'école pour l'élève. Les parents affirment quant à eux qu'ils gardaient leur calme jusqu'au moment où ils ont reçu des propos racistes. Les deux parties ont déposé plainte. |
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