| Dernières réponses | |  coccinelle a écrit :
Il est toujours aussi mimi ce ti nounours  |
vi mais regrettable qu'il soit devenu un produit de marketing 
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| | Il est toujours aussi mimi ce ti nounours
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| | | L'ourson Knut séparé de son père nourricier, fin des spectacles au zoo
L'ourson polaire Knut, phénomène médiatique après son abandon par sa mère et son élevage au biberon par un gardien de zoo, a été séparé de son père nourricier, a indiqué à l'AFP Régine Damm, porte-parole du zoo.
"Depuis aujourd'hui le spectacle (ourson et gardien) n'a plus lieu. C'est parce qu'il est devenu trop gros, il pèse presque 50 kilos, et c'est aussi parce qu'il faut qu'il devienne indépendant pour pouvoir mieux s'intégrer au sein d'un groupe" d'ours, a précisé Régine Damm.
"Knut est seul sinon il se ferait dévorer par les autres ours", selon Mme Damm qui a estimé qu'il devra problablement, tôt ou tard, quitter le zoo pour trouver des compagnons de son âge.
Rejeté par sa mère à sa naissance, le 5 décembre dernier, Knut a été soigné et nourri par un gardien pendant sept mois et présenté au public, accompagné par son père adoptif qui jouait avec lui. Récemment, et sur plusieurs semaines pour ne pas traumatiser l'animal, les autorités du zoo avaient commencé à le séparer de son père adoptif.
Son destin hors du commun, mais aussi sa jolie frimousse qui a même fait "la une" d'un magazine de mode lui ont valu une renommée internationale et un succès commercial. Le zoo, qui a connu une recrudescence de visiteurs, a déposé le nom "Knut" comme marque commerciale et offre un large éventail de produits dérivés.
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| | C'est inconscient je trouve, ils savent bien qu'il va devenir sauvage et heureusement, ils confondent amour des animaux et profit
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| | | Knut prend du poil de la bête
BERLIN (Reuters) - Knut, le célèbre ourson polaire du zoo de Berlin, grandit et l'attendrissante boule de poils prend des airs de prédateur menaçant, faisant craindre qu'il s'en prenne bientôt à son dévoué soigneur qui le couve depuis sa naissance.
L'ourson, qui attire toujours quotidiennement 5.000 fans, fêtera ses six mois mardi et ses 28 kilos commencent à se voir. Son museau s'est allongé, son torse s'est enrobé, ses crocs sont plus pointus. Son pelage n'est plus d'un blanc immaculé et peluché mais jaune et touffu.
Thomas Dörflein, qui depuis des mois dort dans l'enclos de Knut pour lui donner du lait et du porridge pendant la nuit, continue à se rouler par terre avec l'ourson lors de ses deux apparitions publiques quotidiennes et le laisse mordre ses doigts.
Mais il a pris l'habitude de cacher ses mains sous ses vêtements et grimace quand Knut lui mord les pieds. Ses admirateurs, captivés, regardent Dörflein repousser l'ourson quand il devient turbulent.
"Il veut seulement jouer et ne fait pas mal, cela pince juste un peu. Cela fait seulement mal quand il est énervé", a déclaré Dörflein, qui compte déjà quelques bleus.
Côté nourriture, en plus du porridge, Knut goûte maintenant au poisson, à la viande et à la nourriture pour chat et prend 200 grammes par jour.
Côté sport, l'ourson a appris à nager la semaine dernière et part en promenade dans le zoo tous les matins avec son soigneur pour renforcer ses muscles.
"Il grossit et devient plus brusque, en fait il apprend à être un animal sauvage", a expliqué le vétérinaire du zoo Andre Schüle, qui estime que Knut n'atteindra pas sa taille adulte avant quatre ans.
Knut a été rejeté par sa mère, Tosca, à sa naissance. Des défenseurs des droits des animaux ont déclenché un tourbillon médiatique en dénonçant le fait qu'un ours polaire soit élevé par des humains. Les médias allemands avaient alors interprété ces commentaires comme un appel à l'euthanasier.
De phénomène médiatique, Knut est aussi rapidement devenu un phénomène économique, une marque. Knut possède sa chanson et a donné naissance a toute une panoplie de produits dérivés: DVD, T-shirts, bonbons, livres, peluches et autres jouets.
DANGEREUX?
Dörflein pense pouvoir encore jouer avec Knut jusqu'à ses un an, quand l'ourson aura atteint 60-80 kg. Adulte, Knut pourrait peser plus de 500 kg.
Les gardiens du zoo témoignent que Knut regarde Dörflein comme s'il était sa mère, ce qui, selon eux, rend improbable toute attaque. Néanmoins certains experts craignent qu'il soit bientôt dangereux et rappelle d'inquiétants précédents.
Dans les années 1920, un explorateur norvégien avait dû abattre "Marie", une oursonne qu'il avait élevée, après qu'elle l'eut attaqué. Marie avait, selon les historiens, seulement quatre mois, mais des experts pensent qu'elle pouvait être plus âgée.
Le zoo rejette également la comparaison avec Bokito, un gorille du zoo de Rotterdam, qui s'est enfui de son enclos avant de semer la panique dans la ville.
"Vous ne pouvez pas les comparer: les gorilles sont des animaux sociables, les ours polaires sont sauvages", s'est défendu Schüle. "Je n'ai aucun doute que Knut pourrait causer de tels problèmes".
Mais le zoo prend conscience que le spectacle de Knut ne sera pas éternel.
"Knut devient trop grand pour cela et nous arrêterons probablement le spectacle d'ici deux ou trois mois", a déclaré Raimund Opitz, chargé de commenter pour le public les faits et gestes de Knut lors de ses sorties quotidiennes.
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| | coccinelle a écrit :
C'est vrai qu'à force, ce n'est plus marrant. Et puis avec tous les produits dérivés qu'ils en ont fait, ils n'ont plus besoin de chercher autre chose ! |
et non c'était censé être une belle histoire et comme la politique ça me gave
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| | C'est vrai qu'à force, ce n'est plus marrant. Et puis avec tous les produits dérivés qu'ils en ont fait, ils n'ont plus besoin de chercher autre chose !
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| | vanille300 tiens ! Ca ne marche plus le marketting ? Ils ont trouvé autre chose pour faire vendre J'y crois pas du tout à la menace de mort moi  
D'ailleurs, le tit ours il commence sérieusement à me pomper   
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| | jeudi 19 avril 2007, 12h08
Knut menacé de mort?
Qui en veut à Knut? Le zoo de Berlin a reçu par fax une menace de mort contre l'ourson polaire, apparemment victime de sa popularité. La police penche pour un canular, qui ne devrait pas remettre en cause les apparitions publiques du plantigrade.
Le fax parvenu mercredi au zoo de Berlin annonçait "Knut est mort. Jeudi midi". Les responsables ont aussitôt alerté la police qui a inspecté l'enclos où le petit ours blanc, rejeté par sa mère à la naissance et élevé par les soigneurs du zoo, apparaît chaque jour devant des foules attendries.
Le porte-parole de la police Michael Maass a écarté la menace et démenti les informations du quotidien allemand "Bild", selon lequel Knut, qui fait les beaux jours du journal depuis sa naissance le 5 décembre dernier, était placé sous protection policière.
"Néanmoins nous allons envoyé des policiers au zoo dans la journée pour nous assurer que tout va bien", a expliqué Michael Maass. Il a ajouté que la sécurité serait renforcée en raison de la présence du président allemand Horst Köhler qui devait inaugurer une exposition dans le zoo dans la journée.
Selon une porte-parole du zoo Vivian Kreft, une équipe de sécurité surveille habituellement la petite star du zoo de Berlin et "nos deux présentations quotidiennes au public ne seront pas annulées à cause du fax de menace de mort". Ces apparitions de Knut attirent chaque jour jusqu'à 15.000 personnes.
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| | L'ourson polaire Knut, phénomène médiatique dont la santé suscitait quelques inquiétudes depuis lundi, se portait beaucoup mieux mardi et n'a en fait souffert que d'un éphémère mal de dents, a annoncé la direction du zoo de Berlin.
Knut, 4 mois et quelques jours, ne s'était pas senti bien pendant sa sortie quotidienne lundi et avait donc été ramené dans sa cage une demi-heure seulement après le début de sa promenade. Les vétérinaires lui avaient alors prescrit des antibiotiques.
L'ourson superstar souffrait en fait probablement d'une poussée dentaire, mais tout allait mieux mardi, a expliqué le directeur du zoo, Gerald Uhlich.
Le mammifère a repris dès mardi ses deux apparitions quotidiennes d'une heure devant ses très nombreux fans.
Knut, de moins en moins un ourson inoffensif, de plus en plus un ours potentiellement dangereux, attire chaque jour des centaines de visiteurs au zoo de Berlin. Abandonné par sa mère peu après sa naissance au parc zoologique le 5 décembre, il a depuis été nourri et élevé par des humains.
Son destin hors du commun, mais aussi sa jolie frimousse, lui ont valu une renommée internationale et un succès commercial. Le zoo a déposé le nom "Knut" comme marque commerciale et offre un large éventail de produits dérivés.
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