| Dernières réponses | |  Et ça se dit un peuple civilisé! Non mais!!! 
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| | Sans commentaire - J'ai vu des marchés où quelques marchands vendent les chiens à cuisiner (il n'y a que ça d'ailleurs, je n'ai vu qu'un seul chien en animal de compagnie, un pékinois, et c'est un signe de grand standing) - Dans ces marchés, les chiens sont dans des minuscules cages où ils peuvent pas bouger et quasi tous les resto proposent du chien, c'est la viande de luxe.
En polynésie, j'ai dû en manger à un mariage chinois où j'étais invité, je pouvais pas refuser. Triste souvenir
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| |  ,c vrai qu'ils sont completement cingle,cons  ,ils devrait se bouffer entre eux  et laisser les pauvre chiens , chat et autre animaux tranquillent.
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| |  Pauvre petite bête  Sont vraiment trop cons c'est chinois non mais manger du chien, c'est du n'importe quoi Et en plus le Saint-Bernard, lui qui sauve tant de personnes en montagne 
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| | La Chine cuisine à toutes les sauces le Saint-Bernard, une race de chien qu'elle a importée il y a une quinzaine d'années de Suisse et dont la viande y est vendue environ 100 euros (1.000 yuan) le kilo, selon le rapport "Cyclope" 2006, consacré aux marchés des matières premières.
"Le chien est cuisiné à toutes les sauces, dans la plupart des provinces de la Chine qui vient d'entrer, en janvier 2006, dans l'année du Chien", écrivent les auteurs de ce rapport.
"La viande favorite des restaurants de chien est le Saint-Bernard... renommé pour sa chair tendre, son engraissement rapide et ses portées nombreuses", notent les experts de Cyclope. "Les éleveurs de +rou gou+ (chiens de boucherie) vendent ces Saint-Bernard, souvent croisés, au prix de 1.000 yuan, soit environ 100 euros" le kilo.
"Selon un sondage effectué en 2001, 43% des Pékinois auraient mangé au moins une fois du chien", précisent les experts de Cyclope.
"Si les mentalités évoluent dans le sens d'une plus grande clémence vis-à-vis des chiens, le pays n'est pas encore prêt à interdire la consommation canine, comme à Hong Kong depuis 1950", estime Cyclope.
Cyclope signale que de leur côté, les Européens sont de plus en plus sensibles au bien-être des animaux d'élevage (temps de transport, mode d'abattage, poule pondeuse et veau de boucherie libérés des cages), Bruxelles préparant un nouveau plan d'action 2006-2010 pour la protection et le bien-être des animaux, qui vise à renforcer les normes minimales existantes.
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