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ppa
pas la peine d'aller faire les soldes d'hiver
vanille300
http://www.dailymotion.com/Cridamour/video/xz3c6_une-verite-qui-derange
vanille300
votrechipie, c'est une façon de voir les choses
votre zemmerdeuse
quand je lis ça, cela me rassure de pas avoir d'enfant, au moins quand je serais morte, j'aurais pas a me tracasser pour mes enfants.
blackblade
regarder l'apocalypse de st jean et vous aurez tout compris
vanille300
Le réchauffement climatique entraînera d'ici 2080 des pénuries alimentaires pour des centaines de millions de personnes et de graves pénuries d'eau en Chine et en Australie ainsi que dans certaines parties d'Europe et des Etats-Unis, prédit un nouveau rapport sur le climat.

D'ici la fin du siècle, la montée de la température de deux à trois degrés centigrades fera qu'entre 1,1 et 3,2 milliards de personnes seront confrontées à des pénuries d'eau, indique un rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) qui doit être publié en avril mais dont le journal australien The Age a révélé des extraits.

En outre, entre 200 et 600 millions de personnes seront confrontées à des pénuries alimentaires et le long des côtes et la montée des eaux inondera sept millions de maisons.

"Le message est que chaque région de la Terre sera affectée", a déclaré mardi à Reuters le Dr Graeme Pearman, qui a participé à la préparation du rapport.

"Regardez la Chine, comme pour l'Australie, la pluviométrie diminuera considérablement dans les régions agricoles", a-t-il poursuivi.

L'Afrique et des pays pauvres comme le Bangladesh seront les plus affectés parce qu'ils sont les moins en mesure de faire face à la montée des eaux le long des côtes et à la sécheresse.

Le GIEC a été créé en 1988 par l'Organisation météorologique mondiale et le Programme de l'environnement de l'Onu.

Il doit publier vendredi à Paris un rapport qui prévoit d'ici 2100 un réchauffement dans une fourchette de 2 à 4,5 degrés au dessus des niveaux pré-industriels, l'augmentation la plus prévisible étant de trois degrés centigrade.

Ce rapport résumera les bases scientifiques du changement climatique tandis que celui d'avril détaille les conséquences du réchauffement terrestre et les options d'adaptation.

Le rapport d'avril prévoit que les glaciers disparaîtront des Alpes et que certains archipels du Pacifique seront durement touchés par la montée du niveau de la mer et par la multiplication des tempêtes tropicales.

Côté positif, Pearman souligne que la communauté internationale pourrait faire énormément de choses pour éviter le changement climatique si des initiatives sont adoptées rapidement.

"Les projections dans le rapport qui sortira cette semaine sont basées sur l'hypothèse d'une réaction lente et du maintien de la situation plus ou moins comme par le passé", a-t-il expliqué.
vanille300
Près de 500 scientifiques du monde entier se réunissent lundi à Paris pour livrer leur diagnostic sur la "bombe climatique": le réchauffement planétaire déjà à l'oeuvre et, surtout, à venir.L'événement
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), mandaté par l'ONU, va plancher 4 jours à l'Unesco pour publier vendredi 2 février le chapitre scientifique de son quatrième rapport, véritable "bible" des connaissances climatiques qui servira de référence pour les cinq prochaines années.
Ce nouveau rapport, en cours d'élaboration depuis deux ans, ne devrait réserver "aucune bonne nouvelle": "C'est une confirmation de tout ce qu'on a dit depuis longtemps, mais avec des risques supplémentaires", selon le climatologue français Hervé Le Treut.
Fonte des glaces de mer et des sols gelés en profondeur (permafrost ou pergélisol), diminution de la couverture neigeuse, recul des glaciers, dilatation des océans réchauffés, sont autant de conséquences du réchauffement qui peuvent aussi, par "rétroaction", jouer les accélérateurs du processus.
Les climatologues redoutent en effet qu'au delà "d'effets de seuil", ces phénomènes pourraient amplifier le réchauffement, sans qu'il soit possible pour l'heure "de déterminer les limites à ne pas franchir", explique Edouard Bard du Collège de France.
La dernière livraison du Giec, en 2001, estimait que les températures moyennes mondiales pourraient augmenter de 1,4 à 5,8°C d'ici la fin du siècle par rapport à 1990. Une amplitude de fourchette qui traduit moins les incertitudes de la science que celles liées à l'évolution des sociétés et des économies, plus ou moins énergivores.
"Par rapport à 2001, l'exercice sera plus large et plus complet et fera l'effort de présenter les résultats sous forme probabiliste: c'est à dire le degré de confiance accordé aux termes d'une fourchette donnée", indique Serge Planton, qui dirige la recherche climatologique à Météo-France.
Le thermomètre planétaire a déjà gagné 0,8°C en un siècle, pour moitié au cours des trente dernières années. "Hormis 1996, toutes les années depuis 1995 sont plus chaudes que n'importe quelle année depuis plus de 140 ans", note le climatologue français Jean Jouzel, membre du bureau du Giec.
Et pour la communauté scientifique, cette accélération du réchauffement constaté dans les dernières décennies ne peut s'expliquer par la seule variation naturelle du climat. Une bonne part des gaz à effet de serre lâchés dans l'atmosphère le sont par les activités humaines, ce qui impose une réaction de la part des dirigeants du monde.
C'est à eux que s'adresse le "résumé à l'intention des décideurs" que leur concocteront les experts réunis à Paris. Un résumé en dix pages du rapport de synthèse, qui dira l'essentiel et le plus clairement possible, mais qui va nécessiter d'ardents débats et un marchandage "ligne par ligne", selon Jean Jouzel.
Ce résumé sert de socle à l'action internationale en faveur de la réduction des émissions de GES dans le monde, cadrée par le protocole de Kyoto.
"A l'heure actuelle, le réchauffement moyen tel que montré par les simulations est de l'ordre de +3°C en 2100. Mais tout dépendra des scénarios de réduction des émissions de GES", qui varient selon les choix économiques, la démographie mais aussi la diplomatie, indique Edouard Bard.
L'Union européenne a déjà fait sienne la conviction d'experts réunis en 2005 à Exeter, au Royaume-Uni: au delà de 2°C supplémentaires, la planète aura du mal à s'adapter.
 
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