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 Jack Russell Terrier

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vanille300
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   Posté le 26-05-2006 à 13:39:43   Voir le profil de vanille300 (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à vanille300   

Le terrier Jack Russell est une race de terriers actifs. Il doit son nom au pasteur John Russell, qui, au cours de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, s'était fait connaître comme éleveur d'une des meilleures lignées de Fox Terriers au Devonshire, en Angleterre.

Est-il le chien qu'il vous faut ?

… sont avant tout et en premier lieu des chiens de chasse. Le caractère et les compétences qui en font d'excellents chasseurs (comme creuser, aboyer, sa nature parfois agressive, sa capacité à suivre une piste, etc.) sont souvent interprétés comme de mauvaises habitudes entraînant nombre d'abandons.

… sont sélectionnés pour aller au terrier, c'est-à-dire suivre une piste afin de localiser le gibier, l'aboyer jusqu'à ce que ce dernier saute ou soit déterré. S'ils n'ont pas la possibilité d'utiliser leur instinct naturel, ils trouvent d'autres occupations amusantes comme gardien, poursuiveur de voitures, chasseur d'oiseaux et d'insectes, terrassier de vos jardins.

… sont de gros chiens dans de petits corps. Ils ont les mêmes besoins (sinon plus !) d'exercice que des gros chiens et leur mentalité va de pair. Ils pensent qu'ils font au moins 20 kilos et n'hésitent pas à défier des congénaires trois fois plus gros qu'eux.

… ont besoin d'une discipline ferme mais logique. Ils sont très intelligents et testeront vos limites toute leur vie. Ils pourront même éduquer leur propriétaire avant que celui-ci ne s'en aperçoive et ceci parfois avec quelques manifestations d'agressivité. Cette nature doit être comprise et gérée correctement.

… peuvent devenir très possessif avec leur propriétaire ou un membre de la famille au point d'adopter un comportement très protecteur (d'où agression), si ceci n'est pas géré dès le plus jeune âge.

… sont connus pour harceler, blesser ou tuer les autres petits animaux tels les chats, oiseaux, lapins, cochons d'Inde, souris, rats, etc. et ceci uniquement du fait de leur instinct naturel de chasseur. Élever un chiot Russell terrier avec un chat ne garantit pas à ce dernier une vie longue en toute sécurité. Elle est possible sous la vigilance constante, sans faille, des maîtres. Si les animaux sont livrés à eux-mêmes, considérez la cohabitation comme impossible. Prendriez-vous le risque de faire cohabiter un chat et une souris ?

… sont en forme jusqu'à 15 ans et plus. Leur besoin d'activité et leur désir de chasser durent toute leur vie.

… ont absolument besoin d'un terrain clôturé, car ils sont toujours tentés d'aller voir ailleurs si il y a quelque chose à chasser. Vous pouvez les laisser dehors tous les jours pendant 3 ans sans que rien n'arrive, et puis un jour ils disparaissent pour parfois ne jamais revenir. Beaucoup de Russell terriers se font écraser en traversant les routes à la poursuite d'écureuils, chats… Ces chiens sont également capables de creuser sous un grillage ou de l'escalader.

… ont besoin d'un minimum d'éducation. La vie du chien peut en dépendre ! Mais même bien éduqué, le Russell terrier est toujours tenté d'aller poursuivre quelque chose d'intéressant et même de disparaître dans un terrier pendant un moment d'inattention de votre part. Sans laisse, un Russell terrier peut toujours se mettre dans des situations dangereuses à moins qu'il ne soit dans un environnement sans risque et sous la conduite d'un propriétaire averti.

… peuvent être destructeurs s'ils ne sont pas surveillés et surtout utilisés. Mais la plupart du temps, ce comportement est dû à l'ennui, à un manque d'activité, d'exercice, de discipline. Si votre référence est un Jack « parfait », se comportant correctement, vif et gai, c'est uniquement parce que celui-ci à la chance d'avoir un maître qui s'occupe suffisamment de lui.

… sont des chiens de campagne. Car même s'ils habitent en ville, leur instinct n'en reste pas moins présent. Et il serait irraisonnable d'espérer qu'il en soit autrement, car ils sont génétiquement sélectionnés pour être de vrais chiens de chasse. Votre style de vie doit être en rapport avec leurs besoins. Ils doivent avoir un rôle à tenir, en rapport avec leur intelligence et l'énergie considérable dont ils disposent.

… ne sont pas recommandés comme chien d'appartement. Ils ont besoin de beaucoup d'exercices et d'activités extérieurs et sont en général trop bruyants pour vivre en immeuble. Ils ont besoin de place pour courir et la balade en laisse n'est pas suffisante pour eux. Donc, mis à part si votre emploi du temps vous permet d'être souvent chez vous et vous laisse suffisamment de temps pour les activités extérieures, ce chien n'est pas pour vous. Beaucoup de « rescapés » proviennent d'appartements et de maisons dont les propriétaires sont absents la plupart du temps.

… ne tolèrent pas les maltraitances, ils ne supportent pas les tirages d'oreilles, de queues… de partager leur os, leur nourriture… Les Russell terriers ont du caractère et sont demandeurs d'attention. Ils ont envie de sautiller tout autour de qui le leur permettra.

… ne ressemblent pas aux chiens des films ou d'autres formes de médias. Ceux-là sont entraînés et dirigés par des professionnels. Ils sont très dociles pour des périodes très courtes et leurs besoins sont connus et reconnus par leur dresseur qui s'adapte.

Pour conclure, les Russell terriers requièrent un engagement à long terme, d'activité, d'exercice, d'éducation. Leur caractère unique, leur intelligence et leur énergie peuvent parfois être frustrants, indubitablement divertissants, peuvent apporter beaucoup de joie (quand géré correctement) ou de problèmes (quand ils ne le sont pas). Si ce type de relation ne vous correspond pas, alors, envisagez d'acquérir une autre race de chien.


Le caractère

Un petit somme sur un banc rend le Jack Russell aussi satisfait que de sauter sur un renard. Il montre autant d'expertise à la mise à mort d'une chaussette dans votre chambre que celle d'un rat dans la soupente. Ses cabrioles ne lasseront pas de vous amuser, son intelligence vous semblera sans borne, mais son caractère très indépendant pourra parfois vous donner des cheveux blancs.

La personnalité unique du Jack Russell est propre à en séduire plus d'un, mais il convient de faire remarquer que ce chien ne convient pas à tout le monde. La vie en ville, en appartement, ou dans un cadre paisible est peu adaptée aux penchants naturels du Jack Russell. Tous ceux qui se sentent attirés par cette race doivent bien comprendre que ces petits chiens ont d'énormes besoins de mouvement et de compagnie humaine. Il est essentiel d'être en mesure de donner au Jack Russell suffisamment d'exercices corporels, d'occasions de manifester sa brillante intelligence et de contacts humains. Ces chiens s'adaptent à n'importe quel environnement mais il ne faut jamais perdre de vue qu'ils ont été élevés avant tout comme chiens de chasse.

L'activité et l'exercice sont donc essentiels pour le Jack Russell. Il ne faut cependant jamais le laisser courir seul en liberté, même dans les lieux les plus reculés. Le Jack Russell demeure avant tout un chien de chasse, et il saisira la première occasion pour creuser et partir en chasse, quelle que soit sa proie : aucune en effet ne semble lui faire peur. Combien de fois n'est-il pas arrivé qu'un Jack Russell reste un jour entier, voire une semaine, dans un terrier occupé, sans manger ni boire, tellement l'instinct qui lui dicte de rester auprès de sa proie est ancré en lui ? Voir ainsi un terrier disparaître peut être une expérience très angoissante pour les propriétaires non avertis et peu au fait du travail souterrain.

Le Jack Russell peut pourtant se révéler un animal domestique merveilleux pour toute la famille et il fait très bon ménage avec les enfants qui savent se comporter avec lui. Il ne faut cependant pas compter que le Jack Russell, vu son instinct, se laisse monter comme un cheval. L'une des qualités les plus surprenantes du Jack Russell est cependant son caractère affectueux et amical. Il est spécialement bien disposé à l'égard des petits enfants.

Si depuis tout temps, le terrier Jack Russell est une race populaire en Angleterre, il commence aujourd'hui à faire de fervents disciples en Amérique et dans d'autres pays partout dans le monde.


L'éducation

La Socialisation

Le Jack Russell Terrier, comme tous les autres chiens, est un carnivore domestique. Cette définition vétérinaire rébarbative, résume tout de même bien le caractère originel du chien : prédateur et ami de l'homme. Cette amitié, source de plaisir et de bonheur est innée chez le chien et en particulier chez le Jack Russell Terrier, mais elle doit être « canalisée » et « balisée ».

La propreté

C'est sans doute la première difficulté que vous allez rencontrer dans l'éducation de votre chiot. Il arrive chez vous à l'âge de deux ou trois mois après un voyage souvent long, quelquefois pénible, qui représente sa première expérience solitaire loin de sa mère et du chenil de son enfance. Il a le droit d'être complètement désorienté.
Et pourtant, s'il est bien né, en quelques minutes il frétille de la queue, se précipite sur toutes chaussures qui bougent dans la maison, se trouve très vite chez lui et fait pipi sur le beau tapis chinois du salon... Pour beaucoup de nouveaux propriétaires, cette première expérience (et les futures) risque d'être rébarbative et décourageante. Pour les autres, déjà expérimentés en la matière, et qui ont choisi de prendre un autre chien, elle est banale et fait partie des petits inconvénients du statut de propriétaire de chien.

Quels conseils peut-on donner dans ce domaine ?

Il faut apprendre au chiot à faire « pipi », et le reste bien sûr, en dehors de la maison. Pour cela, il faut lui créer des réflexes conditionnés à des heures fixes, assez souvent au début et deux à trois fois par jour plus tard. Si son éleveur l'a déjà conditionné à faire ses besoins sur des journaux étalés, il faut continuer cette excellente habitude. Après un repas, pensez à toujours sortir le chiot dont le remplissage abdominal (souvent important) crée un besoin impérieux. Si possible, l'environnement doit toujours être le même (herbe, graviers).

Et la nuit, doit-il se glisser sous votre couette ? Quand il est adulte et pour quelques raisons exceptionnelles, il peut de temps en temps partager votre chambre. Chiot jamais ! Il doit apprendre la solitude nocturne dans une pièce, toujours la même et de préférence carrelée. Une excellente méthode consiste à l'enfermer pour la nuit dans un Vari-Kennel. Très vite, cette petite boîte devient « sa niche » où il aime spontanément dormir dans la journée, à l'abri de l'environnement familial. L'apprentissage du Vari-Kennel est facile. Au début, le chiot pleure... Ne cédez pas à la tentation ! En quelques nuits, il devient sage.
Plus tard, en voyage, à la chasse, dans la voiture, le Vari-Kennel vous rend de grands services. Votre voiture reste propre et votre Jack Russell Terrier trépigne de joie en vous voyant embarquer la boîte dans l'auto. Vous avez créé un réflexe conditionné de ballade ou de chasse.

Chez l'éleveur ou le propriétaire de plusieurs chiens, le problème peut être différent. Le chiot peut vivre avec sa mère plus longtemps, même si elle est sevrée. Il peut très vite avoir l'expérience du chenil où il n'a pas la nécessité d'être propre. C'est à ce moment qu'il faut commencer le conditionnement à l'aide de journaux. Mais cela ne suffit pas ! Le chiot, pour être sociabilisé, doit faire des séjours à la maison comme son compagnon citadin. Ceci est capital pour l'apprentissage de sa vie relationnelle avec l'homme. Un chien qui reste confiné au chenil, sans véritable contact affectif humain risque de rester psychiquement handicapé.

Le dressage

Il peut être que progressif et lent pendant toute la croissance du chien. De cette façon, il s'effectue facilement et sans accroc. Il n'est pas question de décréter un beau matin qu'il faut commencer un « dressage » parce que votre chien vous a désobéi la veille !
Chez vous, le chien a très vite besoin, par atavisme, de se situer socialement dans la hiérarchie de la « meute » familiale :
– Au chenil, les choses sont claires, le mâle ou la femelle dominant lui apprend très vite la hiérarchie de la meute, en particulier « à la gamelle ».
– Dans le milieu familial, le risque est que tout le monde ne parle pas le même langage et que les interdits ne soient pas les mêmes pour tous.

Parlons du langage

Il n'y a rien de plus ridicule que d'entendre une « mémère à son chien-chien » faire de longs discours à sa petite chose favorite. Le chien bien entendu ne comprend rien et retient uniquement l'intonation de la voix de sa maîtresse qui « gronde » en élevant le ton ou qui « caresse » en susurrant des mièvreries.

Le vocabulaire doit être volontairement restreint, quelques mots suffisent :
– Viens ! pour appeler.
– Assis ! pour demander l'immobilité.
– Derrière ! pour le faire marcher derrière vous ou à côté.
– Non ! pour stopper une action immédiate (monter sur la table, sauter sur un convive, lever la patte à la maison, etc. ).
– Apporte ! pour vous ramener un objet de jeu ou un gibier.
– Aller ! pour l'envoyer jouer ou pour commencer une action de quête de chasse.
Avec ces six mots, tout le dressage est possible.

Bien sûr, vous pouvez en ajouter quelques-uns dont vous avez l'habitude pour la joie, la colère ou la flatterie; mais pas trop ! Avec ce langage simple, vous pouvez « baliser » votre chien et mettre en place les « interdits » qui vous semblent indispensables. Attention, sous peine de « déboussoler » votre Jack Russell et rendre le dressage difficile, le langage et les interdits doivent impérativement être les mêmes pour tout le cercle familial.

Les interdits

À côtoyer beaucoup de Jack Russell Terriers, on s'aperçoit vite que s'ils sont souvent bien éduqués certains sont de véritables « sales gosses ». Un chien bien élevé ne tire pas sur sa laisse et reste calme en compagnie. Il est « dominé » par le dressage de son maître. À l'inverse, celui que les éleveurs ont tendance à appeler « le chien de particulier », s'il n'a pas été bien éduqué, tire sur sa laisse, trépigne, gémit, aboie et rend la vie impossible à son propriétaire qui avoue son impuissance en lui tenant des discours inutiles. Le maître est dominé.

L'apprentissage du langage

Viens ! Vous appelez le chien avec le « viens » et vous restez immobile. C'est le chien qui doit se déplacer, jamais le maître. Vous récompensez ensuite votre compagnon avec une friandise et une caresse. L'apprentissage est rapide. Attention : après une bêtise, il ne faut jamais utiliser le « viens » pour l'appeler afin de le gronder ou le corriger. Après une ou deux expériences de cette nature, le chien n'obéit plus à l'ordre viens !

Non ! Il est prononcé dans l'action immédiate d'une bêtise ou d'un interdit, jamais après ! Le chien vit le présent. Une « engueulade » ultérieure ne sert à rien. Elle est négative et oblige le chien à la fuite ou au conflit. Toujours dans l'action, le « non » peut être précédé d'une tape sèche avec la main, sur une patte ou la tête. Si l'interdit est commis trop loin de vous, vous ne devez rien faire ! Quelquefois et toujours par surprise, vous pouvez lui lancer des objets (verre d'eau, boîte d'allumettes, graviers etc..) qui lui font stopper l'action. Au chenil, le chien qui fait sa soumission à un autre, stoppe immédiatement la colère de ce dernier et assure sa survie. Faites de même ! Après une faute sanctionnée, si le chien vous fait sa soumission, calmez-vous immédiatement et flattez-le. Il ne sert à rien de crier après le chien en prononçant son nom d'un ton furieux. Son nom doit systématiquement être associé à quelque chose d'agréable qui doit le faire venir. Vous ne devez pas non plus le menacer avec la main ou un objet. Si cela peut vous aider à stopper votre colère, n'hésitez pas à l'isoler ou à l'attacher loin de vous.

Assis ! Vous levez la main ou un doigt en prononçant doucement « assis » et vous obligez le chien à s'asseoir avec l'autre main, la première restant tendue. Dès qu'il est assis, vous lui offrez une récompense. La répétition de cette leçon conduit le chien à la position assise à l'ordre. Mais attention, pas d'énervement ! Les leçons doivent être très courtes (une à deux minutes) et répétées dans le temps (une par jour ou tous les deux jours).
Ne soyez jamais pressé ou impatient.

Derrière ! Il vous faut une petite barrière à claire voie que vous trouverez dans votre jardin ou dans un parc. Vous obligez votre Jack Russell Terrier à rester derrière la barrière que vous ouvrez et refermez. Au début, l'ordre « derrière » se donne en levant la main comme pour le « assis ». Bien enregistré, ce réflexe est très utile lorsque vous ouvrez la porte pour éviter que le chien s'échappe ou se rue sur un visiteur.

D'une façon générale, vous devez avoir à l'esprit que le dressage s'obtient lentement, sans brutalité et que c'est finalement l'amour du Jack Russell Terrier pour son maître qui le permet. Vous devez toujours récompenser les progrès acquis et les bonnes actions par une caresse ou une friandise. Il faut trouver des palliatifs aux bêtises. Par exemple, le chiot qui mordille tout, doit avoir sa balle ou son jouet que vous lui donnez immédiatement après un « interdit » de mordillement, etc.

Si vous avez plusieurs chiens chez vous, il est très important de surveiller vous-même leur comportement « à la gamelle ». C'est là que vous pouvez rapidement évaluer, leur bonne santé, leur embonpoint, leur appétit, leur humeur. Sur une portée de chiots, vous reconnaîtrez très vite, les coléreux, les gais, les tristes, les timides, les beaux, les moins beaux, etc. Lorsque votre dressage est terminé et suffisant, il faudra « l'entretenir » à la gamelle. Par exemple, vous obligez le chien à manger à l'ordre. S'ils sont plusieurs, les autres regardent le premier manger et attendent leur tour... Si vous réussissez cela, ce qui est relativement facile, vous avez réussi votre dressage et vous êtes le dominant de la meute !

Un point particulier du Jack Russell Terrier m'a toujours surpris par rapport aux autres races. Entre quatre et six mois, il y a une période difficile où le chien va vous tester. Il était jusqu'à présent docile, joueur, déjà obéissant et un jour, c'est comme s'il avait tout oublié, en particulier revenir à l'appel de son nom ou de viens. Pendant cette période difficile, soyez patient et calme et recommencez l'apprentissage du « viens » avec douceur. Si vous avez du mal à garder votre calme, arrêtez tout et recommencez un mois plus tard.


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vanille300
Administratrice
   Posté le 26-05-2006 à 13:46:17   Voir le profil de vanille300 (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à vanille300   








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Corneil G
a talking dog
Corneil G
   Posté le 26-05-2006 à 16:31:26   Voir le profil de Corneil G (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Corneil G   

Est-il le chien qu'il vous faut ? oui et non en fait, car nous vivons en appartement mais on fait beaucoup d'exercices !!


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Florent and Youki
Choopeta
Administratrice/webmaster
Choopeta
   Posté le 27-06-2006 à 18:02:00   Voir le profil de Choopeta (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Choopeta   

mon idole le jack !!!


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